Bienvenue dans Origins, notre série récurrente qui offre aux artistes un espace pour décomposer tout ce qui a été mis en œuvre dans leur dernière sortie. Aujourd’hui, l’artiste country montante Denitia parle du processus derrière son nouveau single hypnotique, « Don’t Let Me Go ».
Il y a tellement de gens qui essaient de se faire un nom à Nashville, mais il ne faut pas longtemps pour se rendre compte que Denitia a quelque chose de spécial à offrir. Comme tous ceux qui l’ont vue jouer lors d’une tournée d’écrivains ou dans le cadre du programme CMT Next Women in Country peuvent le confirmer, l’auteure-compositrice-interprète montante fait preuve d’une dualité fascinante sur scène. Elle peut être terre-à-terre et vulnérable tout en étant confiante et transportante. Comme dans la meilleure musique country, il y a de la place pour tout cela.
Denitia se prépare pour un nouveau projet, intitulé Promenade au coucher du soleilsortira le 6 septembre. Son nouveau single, « Don’t Let Me Go », fait suite à un titre plaintif, « Back to You ». Les deux titres mettent en valeur sa voix unique, à la fois au sens littéral du terme et en termes d’écriture. Aujourd’hui, elle nous donne un aperçu de la façon dont « Don’t Let Me Go » est né, du processus de production à sa vision visuelle du morceau.
Regardez le clip de « Don’t Let Me Go » ci-dessous et lisez la suite pour découvrir les points clés de Denitia qui ont contribué au développement de la chanson.
Denitia assurera la première partie de la tournée de Mickey Guyton cet automne ; achetez vos billets pour les voir ici.
Tambours rêveurs :
J’ai commencé à écrire celui-ci dans un état de manque de sommeil, me perdant dans le mélange de batterie et de basse, qui vont et viennent ensemble. La batterie était la première sur celui-ci, ce qui fait de cette chanson une exception sur le disque en termes d’ambiance, ainsi que de processus. J’utilisais une Fender Jazzmaster pour faire avancer les choses et je l’ai fait passer dans une pédale d’octave pour créer la basse de démonstration initiale.
Je voulais trouver comment faire en sorte que ce morceau soit à la fois distant et émotionnel, pour explorer cette dualité. J’ai trouvé que c’était rêveur et hypnotique de poser quelques guitares acoustiques aériennes dessus. Le chant est venu assez rapidement, et quand j’ai écrit le refrain, j’ai su que j’avais quelque chose que je voulais garder. Mon producteur est venu et a rejoué certains éléments pour que ça sonne mieux que la démo, mais je suis fier que ce morceau soit une coproduction et qu’une grande partie de l’ambiance originale du premier jour soit là.